Les transports
Ce jour, à l'aube, course pour le bus !
Pas de place assise, mes souvenirs m'encombrent
Me pèsent tels les décombres
D'une vie où je ne suis plus.
Enfin l'avion, je m'envoie en l'air !
Ma belle est partie en taxi pour là-bas
Pour où reste un grand mystère
Mais elle repassera par là.
De mes doux bras, de ma forte langue,
Elle ne peut se passer pour voyager
J'aime la voir quand elle tangue
Au gré des houles de la marée.
Tel un bateau ivre, par mon souffle
Elle se laisse porter pour l'ailleurs
Puis elle enfile ses pantoufles
Et retourne à l'intérieur.
Le train déraille comme moi,
Ma nuit ne m'a transporté en elle
La vie défaille avec moi
Je voudrais retrouver mes ailes.
Ce poème a été écrit avec Fred, vous pouvez donc le lire aussi ici.
Le jongleur de mots a donné le titre et les deux premiers vers. J'en ai ajouté deux, et ainsi de suite.
Le résultat est transportant !
Pas de place assise, mes souvenirs m'encombrent
Me pèsent tels les décombres
D'une vie où je ne suis plus.
Enfin l'avion, je m'envoie en l'air !
Ma belle est partie en taxi pour là-bas
Pour où reste un grand mystère
Mais elle repassera par là.
De mes doux bras, de ma forte langue,
Elle ne peut se passer pour voyager
J'aime la voir quand elle tangue
Au gré des houles de la marée.
Tel un bateau ivre, par mon souffle
Elle se laisse porter pour l'ailleurs
Puis elle enfile ses pantoufles
Et retourne à l'intérieur.
Le train déraille comme moi,
Ma nuit ne m'a transporté en elle
La vie défaille avec moi
Je voudrais retrouver mes ailes.
Ce poème a été écrit avec Fred, vous pouvez donc le lire aussi ici.
Le jongleur de mots a donné le titre et les deux premiers vers. J'en ai ajouté deux, et ainsi de suite.
Le résultat est transportant !